Peace ;) Aimons nous ^^ Une étreinte ? :D

Conçu à la base sur une affection pour le latin, Helium Vola offre une Electro Ambient teintée de mystère. Tout semble sacralisé et riche d'un équilibre envoûtant Discographie [ In lichter Farbe steht der Wald ] - MCD ( Chrom Records / 2004 ) In lichter Farbe steht der Wald (Club mix) - Dies Ire - Omnia sol temperat - Hold on - Carmen ad deum - In lichter Farbe steht der Wald (Lied-version) [ Liod ] - CD ( Chrom Records / 2004 ) Liod-1 - Lucente Stella - Liod-2 - Veni veni - Bitte um Trost - Printemps - Ich was ein chint so wolgetan - Chumemin - Mahnung - Vagantenbeichte - Frauenklage - Ondas do mar - Liod-3 - Zur Heilung - Liod-4 - Engel - Dormi - La fille - Gegen einen Dämon - In lichter Farbe steht der Wald [ Veni Veni ] - MCD ( Chrom Records / 2004 ) Veni Veni (Club version) - Printemps - Mahnung - Veni Veni (Radio edit) + Hidden track [ Helium Vola ] - CD ( Chrom Records / 2001 ) Funerali - Les habitants du soleil - Omnis Mundi Creatura - Begirlich in dem hertzen min - Je chante par couverture - Gegen einen Teufel - Fama Tuba - Lösespruch - Sancte Sator - Du bist min - Do tagte ez - Les habitants du soleil (Reprise) - Luvenes - Selig [ Omnis Mundi Creatura ] - CDS ( Chrom Records / 2001 ) Omnis Mundi Creatura (Album version) - Minne und Treue - Fama Tuba - Omnis Mundi Creatura (Radio version) 14_Selig_Part_1

1997 : Dollsex se forme à Charleroi autour de Judge (batterie) Max (basse) et Rugg (chant). Ils décident de créer Dollsex dans l'optique de faire des concerts dans la région. Ils sont donc rejoints dans un premier temps, par Mich à la guitare. Ces 4 personnes n'ont à l'époque aucune expérience de groupe, mais concentrent toutes leurs forces à construire quelque chose de neuf... Durant 2 ans, ils enchaînent concerts et concours avec succès. 2000 : Ils enregistrent une demo et c'est exactement à cette époque, que le groupe pousse Max à se mettre sur le devant de la scène, avec Rugg pour y ajouter son rap italien. Dollsex est alors rejoint par Jim à la basse et king k aux platines. L'originalité du groupe plaît. 2001 : Les nombreux concerts (+ ou - 60, avec entre autres Semitones, OUT, Linea 77, Mindtrap...) et quelques concours prestigieux ( finale Emergenza, Concourt Circuit, Rock Around...) n'empêchent pas l'issue fatale : le groupe split. 2003 : le groupe se reforme. Le nom reste, mais c'est une autre dimension qui est cette fois atteinte. D'abord par la volonté de faire de Dollsex un groupe professionnel en s'en donnant les moyens (à travers le travail en répétitions, le matériel, le choix d'un ingé-son expérimenté, d'un studio professionnel...). Ensuite à travers le style, résolument métal mais traversé par les nombreuses influences de chacun. Dollsex, toujours à la recherche d'une originalité sans concession, pratique aujourd'hui un Métal regroupant des styles aussi divers que le hardcore, le death, le hip hop, le trash, et le Nu metal. Le résultat se retrouve sur la demo 3 titres enregistrée en octobre 2003, au studio Molière à Bruxelles. Mais Dollsex se définit avant tout, comme un groupe de scène. 2006 : le groupe sortira son album en octobre www.dollsex.be http://profile.myspace.com/index.cfm?fuseaction=user.viewprofile&friendID=102435665 12_A_Total_Chaos_Part_1

Une à une Les larmes se concentraient Autour des pupilles blessées, A jamais trahies... Le sang se propageait Se frayant une ultime voie Vers ce corps ciliaire Cet iritis malmené... L'hémorragie déborda Traversa la rétine malade Se mêla aux larmes Fit couler la source... Le sang mêlé aux larmes Rendait le spectacle inoubliable Accentuait la tristesse de la scène Effrayait même la mort... Sinistre effroyable, Effroyable destin...

Baignant dans cette clarté , froide et lunaire, Sortie des abîmes, défunte éphémere Tu ôtas ton linceul, terne chrysalide, Révélant ta nudité, féline et perfide. Mi ange, mi démon, nymphe des enfers, Seuls tes yeux de chat trahirent ta colère. Impatiente et sauvage, tiraillée par la faim, Tu réclamas du sang, comme un enfant le sein. Eveillée par tes sens, les crocs acérés, Tu sautas sur la proie qui gisait à mes pieds. Emprunt de terreur, quand tu mordis la chair, L'homme psalmodia une ultime prière. Vierge moinillon auréolé de morale, Tenant dans sa main le corps de l'élu. Le visage pale et le regard perdu, Dans l'infini noirceur du vide abyssale. Les lèvres empourprées par ce breuvage pur, Tu souris et tu vins te blottir contre moi. Cet homme mort, fut nourrit par la foi. Et sa foi nourrit, ton immonde nature.

Les entrailles de ce purgatoir Des milliers d'âmes tombent du ciel, Et les vies et les morts se mélangent, La terre s'est ouverte de part le cimetière, Ébranlant les croix et les sépultures. Les deux armées se sont unis par le feu, Au milieu des brumes et des vents, Faisant ainsi vaciller le monde, Détruisant la vie et gavant la mort. Les corps tombent du ciel , De sang chaud encore ruisselant, Comme pour nourrir la terre, Affamée par tant de haine. De ces deux magnifiques royaumes, Personne ne viendra fêter la victoire, Les anges et les démons sont morts, Dans les entrailles de ce purgatoire.

Dans un cercle lumineux, dans l'iris de tes yeux, Dansent de lourdes flammes et danse aussi mon âme, Cinq froides et dures lames, cinq brûlantes larmes, Qui percent mes aveux et qui voilent mes yeux : La première pour le sel de ces larmes cruelles, Pour cette eau répandue pour un fruit défendu, Pour les sillons perdus sur mon visage tendu, Pour les pleurs d'un ciel qui ne bat que d'une aile ; L'une pour le sang versé, d'avoir trop espéré, Pour ce rouge velours où se comptent mes jours, Pour ce liquide lourd dont je m'abreuve toujours, Pour la vie terrassée par un sombre passé ; Une autre pour l'amer d'un cœur qui a souffert, Pour le froid et la peine d'une âme qui vit à peine, Pour toute cette haine qui en vain se déchaîne, Pour le poids d'une colère nourrie par des chimères ; La suivante pour l'oubli de souvenirs maudits, Pour quitter à jamais l'ombre d'un corps tombé, Pour rayer l'être aimé, un nom, porte fermée, Pour partir loin d'ici, quitter cette folie ; L'une enfin pour la mort d'un insensible corps, Pour la fin d'une vie où nul rêve n'est permis, Pour la nuit infinie que fuiront mes ennuis, Pour mon ultime sort, mon désir le plus fort.

Elle aimait la vie il aimait la mort Il aimait la mort, et ses sombres promesses, Avenir incertain d'un garçon en détresse, Il voulait mourir, laisser partir sa peine, Oublier tous ces jours à la même rengaine... Elle aimait la vie, heureuse d'exister, Voulait aider les gens et puis grandir en paix, C'était un don du ciel, toujours souriante, Fleurs et nature, qu'il pleuve ou qu'il vente. Mais un beau jour, la chute commença, Ils tombèrent amoureux, mauvais choix, Elle aimait la vie et il aimait la mort, Qui d'entre les deux allait être plus fort? Ils s'aimaient tellement, ils auraient tout sacrifié, Amis et famille, capables de tout renier, Tout donner pour s'aimer, tel était leur or, Mais elle aimait la vie et il aimait la mort... Si différents et pourtant plus proches que tout, Se comprenant pour protéger un amour fou, L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler, L'autre d'une vie avec lui, loin des atrocités... Fin de l'histoire : obligés de se séparer, Ils s'étaient promis leur éternelle fidélité Aujourd'hui, le garçon torturé vit pour elle, Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes... Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait pour elle, elle est morte pour lui.

Nous... Comme ce mot est doux a mes lèvres. Vous...moi... Ne serait-ce jamais qu'un rêve? Pourquoi? Mon coeur crie, mon corps tremble! Pourquoi? Les mains qui s'effleurent ne sont pas les notres, Les yeux qui me déshabillent ne sont pas les votres, Les corps qui s'enlacent sont trop souvent à d'autres... Le bonheur nous est il interdit? Réservé à ces gens deux à deux réunis? Je refuse...et pourtant... Jamais peut être ne serons nous ces gens. Vous...moi... Peut être jamais qu'un rêve... Nous... Comme ce son est doux à mes lèvres...

Des larmes coulent Sur mes joues Rougies par le froid Mon regard s'attardent Sur les portent semi-ouvertes Du cimetière qui te retiens Loin de mes bras Jamais plus je ne Sentirait ta peau Si douce qui Doit maintenant Pourrir sous cet amas De terre humide Tu ne m'appartiens plus Tes seules compagnons Sont les vers qui te couvrent De leurs baisés voraces Combien de temps vais-je Tenir sans toi... Pas longtemps car déjà Ma main cherche un réconfort, Certain, dans cette arme Posée prés de moi Tout comme toi Autrefois !!